Frère Ray Kozuch de la Province U.S.,
modérateur de la session de ce mardi
La première session du jour était la continuation de ce qui était commencé le lundi: la présentation du Rapport du Supérieur Général. Le Père José Ornelas Carvalho, Supérieur Général, a délivré la quatrième et dernière partie de son Rapport qui reflète la situation actuelle de la Congrégation, sa croissance et les challenges pour le futur.
Il a commencé avec des statistiques. Ainsi le 31 décembre 2008, les Dehoniens étaient au nombre de 2227 dans le monde. C’est moins nombreux que les 2363 membres en 1991, mais la tendance à la baisse des 30 dernières années semble se stabiliser. Toutefois, la distribution de la population de la congrégation a change significativement. Alors que dans la majeure partie des communautés religieuses, les membres s’accroissent rapidement dans l’hémisphère sud, ils diminuent progressivement dans le nord. La démographie a changé énormément avec la hausse de la moyenne d’âge des dehoniens dans le nord, tandis que dans le sud, ils sont de plus en plus jeunes. L’Amérique du Nord a la moyenne d’âge la plus élevée (65,8), alors qu’en Asie la moyenne d’âge la plus jeune est 36.32. Ces chiffres reflètent non seulement où se situe désormais la Congrégation, mais surtout où est son importance
L’Europe est le lieu où étaient nés les Prêtres du Sacré-Coeur. C’était le continent-source du personnel missionnaire et des finances pour la Congrégation. Presque 87% des dehoniens qui travaillent en dehors de leurs provinces/Régions d’origine viennent de l’Europe. L’Amérique du Nord est en outré responsable pour résoudre les besoins financiers dans la Congrégation.
Toutefois, il est prévisible que la croissance de la congrégation est dans l’hémisphère sud. Il y a toujours des missionnaires en Afrique et Asie, mais ils sont âgés et diminuent en nombre, alors que les vocations dehoniennes indigènes augmentent rapidement. En 1991, il y avait 167 missionnaires en Afrique, mais ils ne sont que 80 maintenant. En même temps, le nombre des dehoniens africains a augmenté de 40 à 235.
En notant ces changements, le Père Ornelas a parlé de quelques perspectives d’avenir. « La Congrégation a une dette incommensurable aux entités historiques dans l’hémisphère nord », a-t-il dit. « Au prix des sacrifices de leur vie, ils ont trouvé et supporté les communautés SCJ à travers le monde et continue à le faire jusqu’aujourd’hui. »
Maintenant ces entités de l’hémisphère nord fait face au challenge de recrutement de leurs ministres avec moins de membres, proprement soigné pour les besoins de leurs populations âgées et moyens recherchés à avoir des impacts dans une société de plus en plus sécularisée. « En tant que congrégation, quelle attitude devons-nous prendre », demandait-il le Père Ornelas. « Trouvons-nous les moyens pour être présents, conscient que cela requiert assistance de la part d’autres entités ? Pouvons-nous être des protagonistes qui proclament l’Evangile ? »
Dans le sud il y a une croissance énorme de la vocation, mais peu de ressources pour l’auto-suffisante. Il y a aussi les grandes peines des entités en transition de la part de leur statut missionnaire à l’autogouvernement. Quelques entités qui étaient considérées comme des missions sont maintenant pourvoyeurs de leurs propres missionnaires.
"Tous ces signes nous parlent de la nécessité d’une nouvelle mentalité interculturelle et internationale, dans la ligne de "Nous Congrégation", disait le Père Général. "Nous prenons de nouvelles et courageuses approches pour s’occuper du partage du personnel à l’échelle internationale, plus encore d’autres ressources, nous ferons face aux épreuves et compromission de notre mission dans l’Eglise et dans le monde.
Il a commencé avec des statistiques. Ainsi le 31 décembre 2008, les Dehoniens étaient au nombre de 2227 dans le monde. C’est moins nombreux que les 2363 membres en 1991, mais la tendance à la baisse des 30 dernières années semble se stabiliser. Toutefois, la distribution de la population de la congrégation a change significativement. Alors que dans la majeure partie des communautés religieuses, les membres s’accroissent rapidement dans l’hémisphère sud, ils diminuent progressivement dans le nord. La démographie a changé énormément avec la hausse de la moyenne d’âge des dehoniens dans le nord, tandis que dans le sud, ils sont de plus en plus jeunes. L’Amérique du Nord a la moyenne d’âge la plus élevée (65,8), alors qu’en Asie la moyenne d’âge la plus jeune est 36.32. Ces chiffres reflètent non seulement où se situe désormais la Congrégation, mais surtout où est son importance
L’Europe est le lieu où étaient nés les Prêtres du Sacré-Coeur. C’était le continent-source du personnel missionnaire et des finances pour la Congrégation. Presque 87% des dehoniens qui travaillent en dehors de leurs provinces/Régions d’origine viennent de l’Europe. L’Amérique du Nord est en outré responsable pour résoudre les besoins financiers dans la Congrégation.
Toutefois, il est prévisible que la croissance de la congrégation est dans l’hémisphère sud. Il y a toujours des missionnaires en Afrique et Asie, mais ils sont âgés et diminuent en nombre, alors que les vocations dehoniennes indigènes augmentent rapidement. En 1991, il y avait 167 missionnaires en Afrique, mais ils ne sont que 80 maintenant. En même temps, le nombre des dehoniens africains a augmenté de 40 à 235.
En notant ces changements, le Père Ornelas a parlé de quelques perspectives d’avenir. « La Congrégation a une dette incommensurable aux entités historiques dans l’hémisphère nord », a-t-il dit. « Au prix des sacrifices de leur vie, ils ont trouvé et supporté les communautés SCJ à travers le monde et continue à le faire jusqu’aujourd’hui. »
Maintenant ces entités de l’hémisphère nord fait face au challenge de recrutement de leurs ministres avec moins de membres, proprement soigné pour les besoins de leurs populations âgées et moyens recherchés à avoir des impacts dans une société de plus en plus sécularisée. « En tant que congrégation, quelle attitude devons-nous prendre », demandait-il le Père Ornelas. « Trouvons-nous les moyens pour être présents, conscient que cela requiert assistance de la part d’autres entités ? Pouvons-nous être des protagonistes qui proclament l’Evangile ? »
Dans le sud il y a une croissance énorme de la vocation, mais peu de ressources pour l’auto-suffisante. Il y a aussi les grandes peines des entités en transition de la part de leur statut missionnaire à l’autogouvernement. Quelques entités qui étaient considérées comme des missions sont maintenant pourvoyeurs de leurs propres missionnaires.
"Tous ces signes nous parlent de la nécessité d’une nouvelle mentalité interculturelle et internationale, dans la ligne de "Nous Congrégation", disait le Père Général. "Nous prenons de nouvelles et courageuses approches pour s’occuper du partage du personnel à l’échelle internationale, plus encore d’autres ressources, nous ferons face aux épreuves et compromission de notre mission dans l’Eglise et dans le monde.
0 comments:
Post a Comment